Ganglion lymphatique (= qui sert au drainage de la lymphe) augmenté de volume de manière anormale. Cette augmentation de taille peut être la résultante d’un envahissement par des cellules cancéreuses.
ou adéno-myo-fibrome de la prostate : hypertrophie bénigne de la prostate (HBP). Il s’agit d’une tumeur parfaitement bénigne de la prostate.
ganglion lymphatique hypertrophié de façon pathologique, pouvant être le siège de cellules cancéreuses disséminées par voie lymphatique (qui sert au drainage de la lymphe) à partir d’une tumeur maligne. Le ganglion lymphatique augmente le volume de la prostate de manière anormale.
(ou analogue) : substance ayant un effet identique à une autre.
affection de longue durée. Le cancer de la prostate, comme tous les cancers, est pris en charge à 100%
néologisme reconnaissant à certains aliments des vertus thérapeutiques.
médicament antagoniste des récepteurs alpha cibles du système nerveux végétatif sympathique. Utilisé en urologie pour faciliter la miction.
enzyme du métabolisme des androgènes, transformant dans la prostate la testostérone en DHT. Les inhibiteurs de cette enzyme diminuent l’action des androgènes sur la prostate et sont utilisés dans le traitement de l’hypertrophie bénigne de la prostate. Ils ont été proposés dans la prévention du cancer de la prostate.
(ou agoniste) : substance qui a un effet identique à une autre substance.
Etude des tissus et des cellules au microscope et après coloration. Seule cette étude permet d’affirmer le diagnostic de cancer de la prostate et de déterminer le score de Gleason en cas d’adénocarcinome
Hormones stéroïdes responsables du développement des caractères sexuels mâles. Les anti-androgènes sont donc des médicaments antagonistes des hormones mâles. L’androgène principal est la testostérone, dont 95% sont fabriqués par le testicule et 5% par les glandes surrénales (situées au-dessus des reins).
Ensemble des troubles parfois observés chez l’homme après 50 ans, secondaire à une diminution des taux d’hormones mâles, équivalent de la ménopause chez la femme.
Taux d’hémoglobine des globules rouges en dessous de la valeur normale (13 g/dl).Antalgiques : médicament permettant de lutter contre la douleur.
Elaboration de nouveaux vaisseaux sanguins impliqués dans la croissance des tumeurs.
Médicaments pour éviter ou lutter contre la douleur.
Médicaments antagonistes des hormones mâles (androgènes) agissant au niveau du récepteur nucléaire de ces hormones.
Médicament inhibant les phénomènes inflammatoires qui sont impliqués dans diverses pathologies.
Médicaments bloquant l’action des œstrogènes. Certains ont une action antitumorale dans le cancer de la prostate.
Prescription d’antibiotiques pour prévenir une infection.
Médicaments inhibant l’action de la choline. Utilisés en urologie pour éviter les envies d’uriner trop fréquentes et urgentes.
Substance engendrée par l’organisme à la suite de l’introduction dans celui-ci d’un antigène et concourant au mécanisme de l’immunité.
Traitement destiné à prévenir et contrôler les nausées, haut-le-cœur et vomissements.
Substance qui, introduite dans l’organisme, provoque la formation d’un anticorps
Extrémité inférieure de la prostate venant au contact du sphincter strié.
Mort cellulaire programmée par laquelle des cellules déclenchent leur autodestruction.
Etat de fatigue et d’épuisement.
Prélèvement d’un bout de tissu ou d’organe. Les biopsies de la prostate permettent de porter le diagnostic de cancer de la prostate. Il est obligatoire d’avoir une preuve anatomopathologique avant d’instaurer un traitement pour un cancer de la prostate.
Médicaments inhibant la résorption osseuse. Utilisés pour renforcer les os dans l’ostéoporose, les métastases osseuses, la maladie de Paget.
Sensation de chaleur de survenue brutale et de durée brève avec sudation. Elles sont dues à la diminution des androgènes circulants et sont très fréquentes lors de l’instauration d’un traitement hormonal. Elles vont ensuite s’atténuer progressivement. Divers traitements peuvent être proposés en cas de persistance ou de gêne trop importante.
Terme nord-américain pour désigner la curiethérapie.
Discipline scientifique ou médicale qui étudie et traite le cancer.
Fine lame de tissu enveloppant un organe. Le franchissement de la capsule de la prostate par des cellules cancéreuses ne correspond plus à un stade localisé de la maladie, mais à une extension extraprostatique.
fin tuyau souple destiné à être placé en permanence dans une veine pour réaliser des injections ou perfusions.
terme générique désignant tout traitement par des agents chimiques mais s’appliquant aux traitements anticancéreux, absorbés par voie orale et/ou perfusion.
association de maladies
capacité à retenir ses urines entre deux mictions.