[color=0066FF][i]Je vais vous citer la littérature, pour essayer de répondre à votre interrogation :[/i][/color]
[color=000066][b][u]Qu’est-ce que le PSA ?[/u][/b]
Secrété normalement par la prostate, l’antigène spécifique prostatique (PSA) est une enzyme, un composant du sperme, où on le retrouve à une forte concentration (un million de fois plus que dans le sang). [b]Il est également présent dans le sang[/b]. Il en existe 2 formes : le « PSA total » et le PSA libre. Pour le dépistage, seul le PSA total est dosé dans un premier temps.
[b][u]Pourquoi le doser ?[/u][/b]
L’augmentation et/ou l’évolution de son taux permet de détecter un cancer. Plus celui-ci est [b]diagnostiqué tôt[/b], meilleures sont les chances de guérison.
[b][u]Comment le dose-t-on ?[/u][/b]
Il suffit d’une prise de sang pour laquelle il n’est pas nécessaire d’être à jeun. Le résultat peut varier d’un laboratoire à l’autre, aussi est-il conseillé de toujours pratiquer l’analyse [b]dans le même laboratoire[/b]. Les résultats sont généralement connus dans la journée.
[b][u]Quelles sont les valeurs de référence ?[/u][/b]
Le dosage est considéré normal lorsque le taux est inférieur ou égal à 4 ng/ml. Entre 4 et 10, l’interprétation est plus difficile et il faut recommencer l’examen en dosant également le PSA libre, et en calculant le rapport PSA libre sur PSA total. Celui-ci oriente vers une pathologie maligne ou bénigne. Dans tous les cas, le médecin peut décider d’aller plus loin et proposer une biopsie.
[i](littérature glanée sur Internet)[/i][/color]
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[color=990099][b][u]Le cancer de la prostate[/u][/b]
La transformation maligne (cancéreuse) des cellules du revêtement (épithélium) des glandes de la prostate est appelée [b]adénocarcinome prostatique[/b].
Ces cellules transformées prolifèrent anormalement en envahissant les structures adjacentes et peuvent migrer en dehors de la prostate en empruntant la circulation lymphatique ou veineuse pour créer des colonies de cellules tumorales prostatiques dans d’autres parties du corps : ce sont en effet les [b]métastases[/b], qui évoluent comme des tumeurs secondaires. Elles se développent principalement dans les ganglions lymphatiques et dans les os, mais au cours de l’évolution de la maladie, d’autres sites anatomiques d’implantation sont possibles. Ces métastases sont à l’origine des complications mortelles de la maladie en perturbant l’organisation et la physiologie des organes ou structures qu’elles colonisent.[/color]
[center][img]http://anamacap.free.fr/documents/images/10.jpg[/img]
[color=990099][i] »Cancer de la Prostate, prévenir détecter et traiter »
Pr Olivier CUSSENOT et Georges FOURNIER
et Mr Roland MUNTZ,
Editions John Libbey
L’ANAMACaP préconise la lecture de ce livret adressé à chaque membre de l’association[/i][/color]
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[color=0066FF][i][b]PS.[/b] En résumé pour faire court, cela montre que même la prostate enlevée, le sang lui est toujours dans notre corps (il est le véhiculeur) chargé ou pas de « résidus restants », qui peuvent encore proliférer avec les années qui passent, tout dépend bien évidemment de l’avancement du cancer enlevé, s’il a été diagnostiqué assez tôt !
Lire aussi : http://www.anamacap.fr/cancer-prostate-02-taux-psa.php [/i][/color]