biopsies en mars 2006 et en oct 2009 – poursuivi par un PSA qui monte relativement vite et régulièrement mais pas de cancer mais la suspiction reste là d’où les biopsies… mais je crois que je n’enferais pas de troisième.
bref voilà ma question Richard Beliveau et D Servan Schreiber préconisent les épices pour étouffer le cancer naissant (curcuma, poivre, gingembre, clou de girofle etc) mais si le cancer n’est pas là l’adénome lui n’aime pas les épices [:(] alors que choisir – quand la médecine dit « éviter les plats épicés » de quels épices parle-t-on dans quelle quantité ?
en gros que vaut-il mieux aider la nature par quelques épices pour éradiquer les petites tumeurs naissantes ou les éviter pour que l’adénome ne grossisse pas et nus conduise à une opération et son cortège de joyeusetés éventuelles
qu’en pense les naturopathes amateurs (dont je commence à faire partie) ?
merci de vos conseils
cordialement
En tant qu’amateur, voici ce que j’ai pu apprendre et mon avis:
Une consommation habituelle de curcumine synthétisée par de la pipérine (poivre noir) a montré son pouvoir protecteur contre la dérive cellulaire et réduire considérablement l’inflammation. L’inflammation qui précède souvent la phase cancéreuse. Les cellules ayant subi des attaques toxiques et des stress oxydatifs se mettent alors à dériver. La curcumine du curcuma jouerait alors un rôle protecteur dans les cellules et régulerait des enzymes tels que la cyclooxygénase-2 et des facteurs de transcription protéiques.
Force est de constater que l’action anti cancéreuse du curcuma est plus significative en amont c’est-à-dire avant l’apparition des cellules cancéreuses. Je ne crois pas que curcumine soit assez efficace pour « tuer » des cellules tumorales.
Il est en effet déconseillé de consommer des épices lorsqu’il s’agit d’un adénome de la prostate car les épices ont une action irritante. Consommer une petite cuillère à café de curcuma avec moitié moins de poivre noir le tout mélangé dans quelques gouttes d’huile de pépins de courge, une fois par jour. Je ne crois pas que ça puisse nuire. C’est d’autant plus vrai si vous faites par ailleurs attention à l’équilibre de votre alimentation.
L’activité de l’huile de pépin de courges est due aux stérols, qui inhibent la 5 – a – testostérone réductase, freinent ainsi la croissance du tissu prostatique et diminuent l’inflammation de la glande.
Il y a aussi les racines d’ortie qui sont vivement conseillées dans les troubles de la miction accompagnant l’adénome de la prostate. Les stérols qui sont contenus dans les racines d’ortie agissent contre l’hypertrophie de la prostate.
Cependant, je pense qu’il est dangereux de s’appuyer entièrement aux pouvoirs des plantes en laissant de coté la voie médicale. Si le test PSA n’existait pas, nous serions beaucoup à tomber du cancer de la prostate. La biopsie sert de la même manière à détecter ce qui ne peut l’être autrement.
Par contre, je pense que la médecine conjuguée à l’utilisation réfléchie de la naturopathie peut se révéler très efficace. C’est d’ailleurs ce qui préconise David Servan-Schreiber.
Cordialement,
karasan
merci pour votre réponse mais je connais bien également la racine d’ortie le palmier nain le prunier d’afrique, le jus de grenade etc etc… que je prends au quotidien – ma question était vraiment sur la notion de « plats épicés » et donc de savoir quels épices étaient sensés être néfastes à l’adénome, le curcuma étant anti-inflamatoire je ne pense pas qu’il soit concerné ? par contre le poivre sans doute mais quoi d’autre ?
depuis plusieurs année je me suis fait une recette de curry qui intègre plusieurs épices recommandés par Richard Beliveau (et DSS):
Curcuma gingembre coriandre canelle cumin noir clous de girofle poivre noir fenouil piment rouge
je mange une cuillère à soupe rase de ce mélange chaque jour depuis 3 ans mélangée à de l’huile de courge et de la sauce tomate.
Le cancer m’a pour l’instant évité malgré des taux de PSA et des biopsies qui laissent penser le contraire mais je me demande si ces mêmes épices n’ont pas contribué à augmenter l’adénome et ainsi à dégrader ma vie quotidienne (mictions fréquentes – levers la nuit etc…).
Je vais faire l’essai pour 2 mois au moins de limiter à curcuma + huile de courge + sauce tomate – je vois l’urologue mi avril avec un PSA juste avant.
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Bonjour Robinson,
Je consomme du piment au quotidien. J’ai la chance de pouvoir les cultiver et début Mars je les sème déjà, ainsi que les tomates et je les tiens à l’intérieur de la maison au chaud et ensuite dans une serre à l’abri des gelées, jusqu’à ce que le soleil brille enfin à l’extérieur.[/color]
[center]
[img]http://www.valdeloir.net/ajouts/images/sections/piments1.jpg[/img][/center][color=0066ff]
L’avantage, c’est qu’ils ne sont pas traités aux pesticides (comme les poivrons rouges et piments du commerce), car je sais ô combien ils le sont dans l’agriculture classique…
Dès qu’ils, sont mûrs Sept-Oct, je les fais sécher enfilés sur un fil comme à Espelette. C’est long à sécher, mais j’ai la place dans le sous sol et ça marche ! Je les mouds ensuite dans un moulin à café électrique et les mélange même avec des graines de lin bio.
Cette poudre fine je l’utilise pratiquement tous les jours dans mes aliments.
Les bienfaits du piment rouge et du poivron tu dois les connaître :
http://www.anamacap.fr/forum/anama_forum.php?topic=22&post=1045
[i](Il y a 3 pages à lire…)[/i]
J’ai voulu le faire savoir en mettant des citations de ce livre que j’ai acheté, il y a for longtemps. [/color][center][img]http://www.valdeloir.net/anamacap/piment_rouge.gif[/img][/center]
[color=0066ff]Je pense que ta petite recette concoctée est bonne en réalité.
Ce qui me surprend malgré tout, c’est la quantité : 1 C à soupe rase, c’est pas mal !
Il est difficile de savoir si c’est nocif et si cela a contribué à une HBP ? Perso je ne le pense pas, mais je n’en sais trop rien.
J’avais une petite prostate 28 cc et pourtant les épices je connais moi aussi et j’en consommais et continue d’en consommer…
Je me fais plaisir en les cultivant et les consommant et c’est déjà pas si mal, quand on voit ce que cela apporte au corps.
Qui vivra verra ! . . .
Jean
[b]Tout sur le CAPSICUM[/b] :
http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=piment_nu_sommaire
http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=poivron_nu
J’avais envoyé ton post par mail à mon fils Sylvain, qui est en formation pour passer un BTS diététique, avec déjà une formation en biologie. Il me répond :[/color]
[i] »Les épices n’étouffent pas les cancers. Au mieux, des antioxydants empêchent les radicaux libres d’abimer des cellules.
Mais des antioxydants à forte dose peuvent aussi gêner le système immunitaire à combattre un cancer. »
Il conclue en disant : « Il y a des gens qui pensent qu’on guérit un cancer en priant. C’est peut-être extrême mais ça te montre qu’en médecine, [b]tout le monde croit à des choses et que ça peut devenir irrationnel[/b]…[/i]
En tout état de cause, je pense qu’il faut prendre votre problème du point de vue strictement médical avant d’examiner du coté nutritionnel. La consommation des épices est une chose, l’augmentation de votre PSA et les biopsies en sont une autre.
« Je n’arrête pas de consommer des épices, donc je peux me permettre de ne pas tenir compte de mon taux de PSA et de mon adénome qui grossit! De plus, il ont rien vu aux biopsies…»
Voici, un raisonnement extrêmement dangereux de point de vue du protocole de dépistage, en parlant de dépistage précoce.
Sincèrement, je ne pense pas que votre adénome et votre PSA puissent augmenter de façon significative en raison de vos consommations d’épices.
Concernant les résultats de vos biopsies combien de carottes ont été examinés ? N’oubliez pas qu’une biopsie de la prostate correspond à faire quelques trous d’aiguille sur un organe qui a la taille d’une grosse noix. La probabilité de tomber à coté est élevé et de plus, cette probabilité est proportionnelle au nombre de prélèvements.
Avez-vous déjà eu un IRM 3T ? En tous cas, si j’étais à votre place, c’est ce que je demanderai et sans tarder ! Je ne suis pas médecin mais l’expérience aidant j’ai appris que lorsqu’il s’agit du dépistage, pour des cas comme le votre, il ne faut pas se contenter des biopsies. Soyez prudent mon ami, ne jouez pas avec le feu!…
pour répondre à Jean oui je connais le piment que j’intégre également dans ma petite sauce et je ne prends que des épices bio – en 3 ou anas je suis devenue une véritable encyclopédie de la nutrition anti-cancer (et pas que de la nutrition) car malheureusement ma femme a elle, eu un cancer assez costaud dont elle se remet pour l’instant…
pour répondre à Karasan, mes taux de PSA ne sont pas monstrueux mais ils augmentent régulièrement en 3 ans le PSA est passé de 1 à 3 en 2004 puis progrssivement il arrive maintenant à 6 ,
le nombre de carottes de mes deux biopsies est trés impressionant (enfin pour moi !!!) 15 carottes pour celles de 2006 18 carottes pour celles d’oct 2009. Je pense pas me faire trouer la prostate comme ca tous les 3 ans… sauf à ce que mon PSA explose… je pense que j’ai une prostate qui a un PSA qui monte mais qui n’est pas forcement le signe d’un cancer.
je crois avoir lu à maint endroits que le PSA était aussi fiable que de jeter une pièce en l’air (c’est un chercheur japonais je crois qui dit ça qqpart ?)
en tous les cas je n’ai pas eu d’IRM 3T mais tout ça me fatigue un peu- vivre dans la maladie depuis 6 ans (mais surtout depuis 3 ans) est stressant et le stress…. c’est pas bon pour le cancer…
tout ça est bien compliqué (c’est vrai Jean)
sinon j’ai moi aussi un petit moulin à café avec lequel je mouds mes graines de lin doré – je peux débattre sur les mérites respectifs des graines de lin doré ou de lin brun…
merci à tous de vos réponses en attendant
je viens de prendre conscience de ce que dit le fils de Jean à la fin de son mail:
« Mais des antioxydants à forte dose peuvent aussi gêner le système immunitaire à combattre un cancer. » [:S]
alors bien sur dans ce cas je vais me remettre à la bierre (qui serait elle aussi bonne pour le fonctionnement de la prostate) et surtout je vais revendre ma collection de livres de médecine naturelle (j’ai même la lithothérapie !) j’en ai un bon mêtre sur mes étagères[:D]
bon courage à tous
22 carottes prélèves et la biopsie négative alors qu’il y avait de l’adénocarcinome prostatique moyennement différencié de score Gleason 3+3. Ce patient a subi une prostatectomie et on a découvert à l’examen anatomopathologique qu’en fait les deux lobes avaient été touchées. Alors qu’à la biopsie ils n’avaient rien trouvé car ils étaient tombés à coté !…
Passez un IRM 3T qui est très fiable pour le dépistage. Rester dans le doute est très stressant et comme vous le savez, le stress aide à l’oxydation des cellules.
J’aimerais vous demander si vous avez des renseignements sur ces plantes :
– Tomentosa uncaria appelé aussi « samento »
– Scutellaria Baïcalensis
– Resveratrol
Merci !…
Je sais bien que les carottes peuvent passer à coté et que la biopsie n’est pas une garantie et je sais bien d’autre part que ce ‘est pas le lieu pour dissuader les gens de faire du depistage mais bon vivre dans l’attente du prochain PSA …
sinon
– Tomentosa uncaria appelé aussi « samento » est la fameuse « griffe du chat » beuacoup de littérature la-dessus mais je suppose que vous devez comme moi chercher sur le net – pas grand chose dans ma collection de livres santé nature.
– Scutellaria Baïcalensis – je ne connais pas et peu de littérature un truc interressant là http://www.oronalia.com/fichier/scutellaria11.pdf?PHPSESSID=e72f65fc7821be6e84dc7916aa8fb030
– le resveratrol (qui n’est pas une plante) par contre je connais un peu et je pratique (un verre de vin rouge chaque soir ! c’est pas le plus dur du « traitement ») le resveratrol est un polyphénol qui est le plus présent dans les vins faits avec des raisins qui « souffrent » donc venant de régions un peu froides (comme la bourgogne) et de préference sur certains cépages (pinot noir) on trouve tous les détails dans le bouquin de richard beliveau « les aliments anti-cancer »
Lorsque quelqu’un demande, j’essaye de donner mon opinion de la façon la plus claire et sincère possible. Qu’on soit pour ou non, le dépistage représente la meilleure arme dans la lutte contre le cancer et la grande majorité du monde médical, est heureusement de cet avis. Ce qui permet de sauver de nombreuses vies. Exprimer cet avis n’est pas, à ma connaissance, contraire à la vocation du forum.
Ceci dit ;
Je vous remercie pour vos recherches sur les produits cités plus haut.
karasan
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Message pour robinson
Je n’ai pas validé ton dernier post de 16h28 aujourd’hui.
Pourquoi ? Et bien parce que tu sais sans doute que l’on se bat en tant qu’association pour un dépistage du cancer de la prostate depuis de longues années pour les hommes de 50 ans.
Et toi tu me parles de Dominique Dupagne opposé radical à notre vision : http://www.atoute.org
Ce n’est pas la peine alors de se »défoncer » comme on le fait pour sauver des vies et je sais de quoi je parle !
Tu le cites : [/color] »Grosso modo, on sauve [i]quelques hommes[/i] en les dépistant et [i]on en tue d’autres[/i] et le bilan global ne montre pas de différence significative en terme de mortalité. »[color=0066ff]
Mais que faire lorsque l’on découvre à 60 ans un cancer avancé ?
N’est-il pas déjà trop tard ?
C’est facile de dire, d’avancer des thérories, mais lorsque l’on est atteint et je connais des camarades qui sont dans ce cas, alors ça n’est plus le même discours que l’on tient !
Je t’encourage à lire le document [b]2010 : nouveau paradigme[/b] si ce n’est déjà fait ! http://www.anamacap.fr/2010.php
Bonne lecture !
Le PCA3 que tu cites est peu utilisé, il coûte aussi une fortune pour un contrôle incertain parfois. Il donne malgré tout des indications et permet de faire des comparaisons avec le PSA. Mais nous savons bien de quoi il s’agit, voilà 2 ans qu’on en parle.[/color]
[center][img]http://www.valdeloir.net/anamacap/PCA3.jpg[/img][/center][color=0066ff]PCA3 : http://www.anamacap.fr/telechargement/depistage/urine-temoin-du-cancer-prostatique.pdf
2 ans sont passés depuis que le quotidien du Médecin a publié ça.
Le Président de notre conseil scientifique dit :[/color] [color=99000]
« Afin de mieux définir l’intérêt d’une 3ème série de biopsies prostatiques, une étude moléculaire sur les urines et le sang est possible [b][i](gratuite dans un cadre institutionnel et académique).[/i][/b]
Si une 3ème série de biopsies se justifie à partir de cette étude moléculaire alors une IRM de diffusion prostatique préalable aux biopsies serait souhaitable, pour mieux cibler d’éventuelle zones suspectes ».
Pr OLIVIER CUSSENOT[/color]
La FAQ (Foire Aux Questions): Le 04/11/08 – par Pierre – Test urinaire
Bonsoir. Vous trouverez mon parcours dans le post darius.
Je suis d’accord avec Jean41 :
1° les test de dépistages par PSA sont indispensables car la politique de l’autruche n’a jamais été une stratégie et que les tests sanguins sont indolores.Libre ensuite à chacun de poursuivre les investigations.
2° Le fait de ne pas savoir n’empêche pas la maladie de progresser donc il vaut mieux savoir s’il y a doute et choisir sa voie de préférence le plus en amont du début de la maladie si maladie il y a.
3° Pourquoi choisir entre la médecine « classique » et une alimentation anti-cancer alors que les 2 se complètent.
Etre vigilant et informé est essenciel , c’est pourquoi nous participons à ces forums.darius
Bonjour Darius,
L’attente est longue et pénible en attendant les résultats du PSA et c’est d’autant plus difficile pour nous autres qui passons des contrôles tous les 3 ou 6 mois après la prostatectomie. Il y a le stress avant la maladie, dû à l’attente pour en savoir plus et il y a aussi après la maladie (après l’opération) dans l’attente des résultats de ces tests réguliers. A quelques jours du test je ressens souvent comme une épée prête à tomber au-dessus de ma tête. La question nous hante tous « est-ce que ça va récidiver ? »…
Cette situation génère à certaines personnes dont j’en fais partie, des angoisses profondes dans le subconscient. Il y a parfois des symptômes physiques très désagréables comme la sensation d’avoir un poids au niveau du plexus, manque d’air, baisse du tonus, perte de moral etc.… Commence alors un vrai travail sur soi dans la façon de voir les choses d’une façon plus positive et en se préoccupant moins de l’avenir. Il y a aussi des exercices de respirations comme « la fréquence cardiaque » qui fonctionne bien. On fait comme on peut pour pouvoir revivre normalement.
Une chose est certaine ; les choses ne sont plus comme avant, une page a été retournée dans notre vie.
Maintenant, est-ce que je regrette ?… Est-ce que je regrette qu’on ait dépisté lors d’un test de PSA que j’avais un cancer là dans ma prostate alors que je vivais « normalement » dans la tranquillité et l’ignorance, alors que je ne ressentais aucun effet physique de la maladie présente?…
La réponse est NON !
Certes, vivre dans l’ignorance m’aurait permis de continuer ma vie normalement mais il est certain que la maladie aurait évoluée insidieusement en franchissant la capsule et semant des métastases sur son chemin pour devenir de plus en plus difficile à maitriser. J’en conviens, là il est question de « la qualité de vie ». On est en plein dedans. Mais, nom d’une pipe !… Je n’ai que 52 ans ! La maladie évoluant dans mon ignorance, j’aurais pu continuer à profiter encore combien de temps ? 3 ans, 5 ans ? 10 ans ?… Désolé mais, gagner quelques années de « java » pour mourir dans la souffrance à 60 ans… Sincèrement, est-ce qu’il y a quelqu’un parmi vous qui aurait choisi l’autre option ?
D’où l’importance du dépistage !
D’autre part, si on pouvait vivre en arrêtant la progression du cancer sans se faire opérer, sans support médical rien qu’en utilisant la naturopathie, la phytothérapie, ça se saurait !
Il ne faut pas oublier que les américains sont précurseurs dans ce domaine. Ils ont la volonté et l’argent. Les laboratoires privés dépensent de milliards de dollars en recherches pour dénicher la ou les plantes miraculeuses sans encore pouvoir obtenir de résultat probant. Il n’existe même pas encore de produit en chimiothérapie qui soit capable d’une façon sûre d’arrêter la progression des cellules métastatiques.
Etre contre le dépistage peut-être un choix personnel mais l’annoncer en tant que « ligne de conduite » c’est de l’hérésie !
Bonjour A tous et A toi JEAN,
J’ai suivi depuis le début , cette discussion, Bravo à mon Ami Karazan de ce qu’il apporte à notre association, et pour moi (et beaucoup d’autres) il a été là tout le temps , avant, pendant , après l’opération et les traitements, à l’image de JEAN (notre maitre) nous apportons notre modeste soutien face à cette saloperie de maladie.
Je me présente plu (lire mes diffèrent posts), je suis a 2000% d’accord avec toi Jean et Karazan également , à quoi cela sert que l’on se décarcasse si des médecins qui prônent comme seul traitement , le fait de pas en avoir…. Mais oui Bien sur un cancer (quel qui soit) ne passe pas avec des réflexions , ou la politique de l’autruche, pendant ce temps là, la tumeur progresse, s’installe et TUE, 400 morts par Jours en France, je pense très sincèrement que tous ces gens souhaitaient vivre et que les médecins autour d’eux ont fait leur maximum pour les sauver, on ne parle pas de choix philosophiques (j’ai une pensé émue pour le frère de mon ami Karazan), le cancer de la prostate est une maladie grave , dont on meurt si l’on ne fais rien. plus tôt le dépistage est fait , plus vite les soins arrivent et la guérison est possible, TOUS pour le nouveau PARADIGME proposé par notre Président.
Amitié à tous[;)]
Jean-Luc
ps: un coucou à Guibi (alias Joel)
Bonjour,
Je découvre cette discussion très intéressante qui me reporte quelques jours en arrière ou j’ai reçu un homme, qui comme Robinson, se masquait la réalité avec la prise de plantes couplée à des médicaments.
Je lui ai tenu un même discours réaliste et percutant comme Karasan l’a fait ci-dessus. Pourquoi faire un test de PSA si c’est pour refuser le résultat ? Pourquoi nier la réalité, à savoir qu’aucun test n’est fiable en soi, et de plus fluctuant selon les individus.
Alors d’accord avec Karasan, ou on nie la maladie et on n’en parle plus, ou on va au bout de la démarche !
Mais on ne tourne pas autour. C’est irresponsable.
Pour votre interrogation Robinson, je suis encore une fois étonné que dans votre cas on ne parle pas du ratio PSA libre sur PSA total qui est la plus intéressante partie de ce test. Vous aurez peut-être alors une orientation adénome ou cancer… ou aucune si vous êtes à un % intermédiaire. J’ai déjà traité ce sujet sur le site : ce ratio est indispensable dans bien des cas.
L’après prostatectomie et ses complications… une simple réadaptation. Et l’espèce humaine a toujours su s’adapter en fonction des cataclysmes. Nous ne sommes donc qu’un nouveau chaînon né des conséquences de l’augmentation de la durée de vie. Il ne reste qu’à nous trouver un nom… à vos écritoires ! La consultation est lancée…
Jean FRICHET
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