Hormono-résistance –
Bonjour, à la rubrique « cancer hormono-résistant » je lis la phrase suivante : l’urologue et l’oncologue qui prennent en charge un patient ayant un cancer de la prostate hormono-résistant savent qu’ils ne gagneront pas la bataille et que la survie médiane de ce patient sera de 11 mois. La prise en charge sera donc axée sur la qualité de vie. Cette phrase est-elle toujours d’actualité ? Cordialement