bonjou,
Agé de 85 ANS, j’ai consulté votre site après avoir eu le résultat d’un PSA ,non demandé par moi dans un hopital parisien( PSA 29). Suite à la réponse donnée par le Pr Cussenot qui me conseillait de consulter un urologue et ne pas « engager des explorations invasives », j’ai réfléchi durant une année, et me suis décidé à consulter un urologue, professeur. Celui-ci a demandé un IRM ,à sa lecture, ce professeur a proposé une biopsie limitée à quatre cibles. Résultat cancer gleason 7(4+3 )grade groupe 3. Le médecin m’ a dit qu’il ne voulait pas m’infliger une opération ou un traitement invasif.il m’a donc donné un traitement d’hormonothérapie. Ce traitement a d’abord duré six mois avec beaucoup de bouffées de chaleur ,atténuées par une pilule (désormais quasi interdite) avec baisse du PSA à 3 environ (j ‘ai alors 86 ans) ;puis le professeur m’a suspendu le traitement durant six mois.Le PSA ayant remonté à 12, le professeur m’a demandé de reprendre l’hormonothérapie six mois, malgré mes réticences.Le PSA est redescendu à nouveau à 3 au bout des six mois .Dés lors,On me laisse reposé à nouveau jusqu’au prochain test PSA.mais j’ai peur que l’on me demande de recommencer d’hormonothérapie si le PSA repart.J’ai donc une hormonothérapie intermittente.MAIS je voudrai bien arrêter ce traitement .Ma question est donc :L’hormonothérapie serait donc à vie même pour une personne qui n’a donc aucun autre ennui de santé, ni symptômes et maintenant 88 ans. Ce foutu PSA est tyrannique!!! quel risque si je n’ai plus de traitement puisque je n’ai jamais ressenti aucune douleur même avec PSA 29 pendant nombre d’années? merci.