2 remarques sur les dernières recommandations des urologues

1. Les agonistes de la LHRH sont le traitement standard du cancer de la prostate métastasé. Cela peut-il signifier que les agonistes (effondrement lent de la testostérone sous 28 jours avec risque de flambée ) sont t-ils plus efficaces et/ou mieux tolérés que les antagonistes (effondrement rapide de la testostérone sous 3 jours sans risque de flambée ) ?

2. L’hormonothérapie intermittente présente une efficacité comparable à un blocage androgénique permanent parmi une population sélectionnée
De quelle population sélectionnée s’agit-il ?
Avez-vous connaissance d’études démontrant la supériorité de l’hormonothérapie intermittente par rapport à l’hormonothérapie de longue durée dans les cancers de la prostate avec atteinte ganglionnaire pelvienne ?

Vous remerciant.

Bien cordialement,