Ma PSA a doublé (de 2.72 à 5.35) entre 11.2017 et 11.2019 puis a doublé de nouveau (de 5.35 à 9.8) entre 11.2019 et 7.2023 à mes 85 ans. Fin 2023 elle était à 9.8.
Mes examens de fin 2023 ont montré une lésion qui est limité à 15 mm qui reste à l’intérieur de l’enveloppe de la prostate et un score de Gleason de 7(3+4). De plus présence d’un adénome au niveau de la partie transitionnelle. La taille de la prostate est 52×40 et 37 mm de hauteur.
Il m’a été d’abord proposé un choix entre radiothérapie ou suivi puis après concertation entre médecins un choix entre traitement ultrasons ou suivi avec hormonothérapie du fait du risque de séquelle neurologique de l’anesthésie générale à mon âge.
J’ai choisi le suivi et l’hormonothérapie qui a l’air de faire effet puisque le taux de PSA est descendu à 1.28 trois mois après la première injection d’Eligard et à 0.81 trois mois après la seconde.
Je manque d’information sur cette pratique qui parait nouvelle en l’absence de toute thérapie et me demande si j’ai fait le bon choix. En particulier je crains une migration du cancer, des métastases rendant la fin de vie difficile. D’où les questions suivantes :
Le traitement par ultrasons doit il se pratiquer seulement avec anesthésie générale ?
Un suivi limité à la PSA et examen ne doit il pas être complété par une IRM voire une biopsie ?
En bonne santé par ailleurs, ne vais je pas être rattrapé par le cancer ou par l’adénome avant tout autre accident de santé ? Si c’est le cas y aura-t-il encore des possibilités d’intervention comme ultrasons ou, pourquoi pas, de prostatectomie ?
Merci pour votre aide