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  • bibost
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    #29881 |

    Bonjour,
    Je suis nouvel adhérent à l’ANAMACAP et voici mon histoire de cancer de la prostate pour laquelle je sollicite un conseil.
    •Compte tenu de mes antécédents familiaux, la mesure de PSA a commencé en novembre 2006, à l’âge de 55 ans : 2,5 ng/ml.
    •Ensuite le PSA a monté régulièrement. La 1ere mesure supérieur à 4 ng/ml date de mai 2009. D’où une biopsie qui se révèle négative.
    •2 ans plus tard, le PSA se maintenant à plus de 4, une 2eme biopsie est réalisé, toujours négative.
    •Le PSA continue de monter régulièrement. On a 6,02 en novembre 2012. Une légère diminution, puis une remontée à 7,13 en octobre 2015. Ensuite, 8,6 en novembre 2016.
    •Un IRM est réalisé en avril 2017 : RAS, volume de prostate = 70 cm3.
    •Le PSA continue de monter : 12 en septembre 2017.
    •Une 3eme biopsie a lieu en mars 2018. Le résultat montre des cellules cancéreuses.
    Volume de prostate = 58 cm3 et adénome de 43 cm3.
    Adénocarcinome prostatique gauche de Gleason (3+3) s’observant sur les biopsies apicales (3 mm) et transitionnelle gauche (9 mm). Groupe 1. 12 mm de longueur tumorale pour 139mm de tissu analysé à gauche.
    •Le 1er urologue indique une tumeur de stade T2B, donc à risque intermédiaire, nécessitant un traitement. Ce 1er urologue propose plutôt une prostatectomie.
    •Bilan d’extension négatif (scanner pour les ganglions et scintigraphie osseuse).
    •Une consultation permet de se renseigner sur la radiothérapie et surtout sur la curiethérapie.
    •Une autre consultation permet de se renseigner sur l’HIFU. Cette consultation a surtout été l’occasion d’avoir un 2eme avis.
    Le 2ème urologue se prononce pour une surveillance active. Il montre sur le site internet « prostatecancer-riskcalculator.com » qu’avec les caractéristiques de la tumeur, on a 49% de chance d’avoir un cancer indolent.
    Rendez-vous est pris pour un IRM, puis une consultation avec le 2ème urologue, en juillet.
    Il m’est difficile de faire un choix. Je suis plutôt pour une surveillance active !
    Est ce qu’il y a un risque de progression du cancer, peut être rapide, sans que la surveillance active permette de la détecter ?
    Est ce qu’avec une surveillance active, on ne fait pas que reculer un traitement type prostatectomie à un âge plus élevé et donc avec plus de difficulté à supporter ce traitement et ses effets secondaires ?
    Merci pour votre aide.
    Cordialement

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