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Soutenez nos actions d'informationLes témoignages sont le plus souvent postés par des personnes encore touchées par la maladie, ce qui peut donner une impression « négative ». Les personnes qui se sentent guéries souhaitent passer à autre chose et ne laissent pas forcément de témoignage alors que leur vision de la maladie aurait certainement une connotation plus positive.
Seulement la radiothérapie
1 Juil 2013
Voila 2 ans que j'ai été traité par radiothérapie tout va bien le taux de PSA de 11 est passé à 1.5 ce qui d'après le radiothérapeute ne devrait plus trop baisser. Par contre plus aucune érection depuis le début du traitement ce que personne ne semble comprendre urologue comme radiothérapeute. Je me trouve seul devant mon problème cialis,edex10 puis 20 =résultat nul. Si quelqu'un connait le problème ou la solution j'ai besoin de témoignage .
Micros foyers
21 Juin 2013
Bonjour, Nous tenons à vous faire part de notre reconnaissance envers votre association découverte par hasard sur internet, lors de nos recherches sur la maladie et les traitements. Grâce aux réponses du Pr CUSSENOT, et de Mr MUNTZ, mon compagnon 71 ans ayant des micros foyers a évité de justesse soit une prostatectomie radicale ou une radiothérapie et dans les deux cas un curage ganglionnaire étendu. Deux consultations avec le Pr CUSSENOT et quelques examens complémentaires dont un pet scan à la choline, ont confirmé que ces traitements lourds n'étaient pas nécessaires dans son cas, une surveillance active étant suffisante, il peut bénéficier d'une vie normale et le moment venu, il y aura sûrement de nouveaux traitements ! CORDIALEMENT
Surveillance ou traitement ?
21 Juin 2013
Bonjour, Biopsie effectuée fin octobre 2012 qui concluait à un cancer peu développé et peu agressif (score de Gleason 3+3 et PSA de 4,5, mais 4 prélèvements positifs sur une douzaine). En novembre 2012, mon urologue me préconisait une prostatectomie ou une radiothérapie. Après avoir longtemps hésité, j'ai fini par adopter, pour l'instant, une surveillance de l'évolution de mon état tout en changeant mon mode de vie comme suit: 1- j'ai changé radicalement mon alimentation en supprimant les aliments contenant du gluten, les produits laitiers et en diminuant au maxi les produits sucrés. J'ai également très fortement réduit les protéines animales et arrêté le café. J'ai fait également un jeûne de 5-6 jours courant février dernier. 2- J'ai suivi de manière plus ou moins régulière la cure de GERSON-KELLEY 3- je m'efforce de faire plus d'activités sportives Résultat, j'ai perdu 10 à 12 kg et je pèse maintenant 66kg (77kg en novembre 2012) pour une taille de 1,90m. Mais je me sens en bonne forme physique, même si en plus de la perte de ma légère surcharge pondérale , j'ai perdu aussi un peu de muscles. J'ai refait une IRM en avril 2013 (précédente de nov 2012) et ma dernière analyse de sang de mai 2013 révèle une baisse du taux de PSA à 3,17. Ces résultats me conforte dans la continuation d'une solution de surveillance mais je vais quand même consulter différents spécialistes pour savoir s'il n'est pas préférable d'engager un traitement (radiothérapie, prostatectomie, hormonothérapie ou autres...). Cordialement Roland
Reponse a Anonyme du 11/04:2013
13 Avr 2013
Votre mari a eu de la chance de trouver un urologue compétant, j'espère pour lui qu'il n'y aura pas de dégâts par la suite . j'ai également eu le même problème avec mon médecin traitant de l'époque et un urologue totalement nul de ma ville. J'avais le même score de Gleason . PSA de 7 , j'ai opté l'opération sous célioscopie, après avoir vu l’un des meilleurs urologues , il m’a conseillé dans un cas comme le mien cette opération la place d’autres méthodes beaucoup plus destructrices . Grâce a ce cancer contenu dans la capsule prostatique sans perforation , ce que présentais mon chirurgien après analyse de mon dossier et il avait raison ,Il en résulte 12 ans plus tard, que j’ai une vie normale, une sexualité normale avec éjaculation rétrograde, aucun suivi, sauf le contrôle de PSA tous les ans. J’attaque ma douzième année (12) de tranquillité sans aucun suivi depuis mon retour de l’opération. Il ne faut jamais écouter un seul son de cloche. Bonne chance a vous .
Dépistage par biopsie
11 Avr 2013
Venant de lire le témoignage d'Annick, je voudrais raconter ce qui est également arrivé à mon mari. sur les conseils au vu des résultats, de son médecin traitant qui lui a prescrit une analyse du PSA, il consulte l'urologue que lui indique ce médecin. l'urologue pense que les résultats ne valent pas la peine de pratiquer une biopsie. Pas trop satisfait de ce conseil, mon mari consulte un deuxième urologue qui lui, préconise immédiatement une biopsie. Mon mari en informe son médecin traitant qui le décourage de la faire, lui disant que c'est inutile et même risqué. Mon mari renonce à cette biopsie. deux années plus tard, les résultats du Psa sont plus mauvais, et l'on pratique une biopsie. Les résultats donnent un score de gleason à 7 et montrent que le cancer est virulent. Une ablation radicale de la prostate est effectuée, par robot. l'analyse montre que l'une des marges est atteinte. certes, le niveau du psa redevenu tout à fait normal et même bon, mais à cause de de la passivité du premier urologue, deux années ont été perdues, aggravant l'extension de la tumeur, et forcément les conséquences de l'opération (incontinence sans remède) malgré la magistrale et admirable intervention du chirurgien.
Délivrance grâce aux bandelettes
20 Mar 2013
Je suis le dernier d’une famille de 6 enfants dont 2 filles et 4 garçons. Lors d’une réunion fraternelle j’appris que mes 3 frères ont eu un cancer de la prostate et se sont fait retirer celle-ci sans que je l’aie su . J’avais à l’époque 61 ans. Ils me demandèrent: ton médecin ne t’a jamais parlé de PSA ? Non absolument pas ! s’agirait-il de Peugeot-Citroën ? plaisantai-je. Hélas non, c’est le taux indicateur d’une anomalie de la prostate ou plus grave et insidieux : l’annonce d’arrivée d’un cancer. Je n’avais aucun symptôme d’alerte, pas d’envies urinaires trop fréquentes ou autre. Dans un premier temps, j’ai commencé par changer de médecin traitant estimant que son silence pouvait s’avérer dangereux. Mon nouveau m’envoie donc à un urologue de clinique locale. Dès le 1er taux de PSA relevé j’étais au delà du plafond de 4,50 ng/ml car j’accusais 5.93 J’arrivais à 62 ans .Toucher rectal : rien d’insolite. Alors afin de vérifier l’hypothèse d’une éventuelle infection puisqu’il ne pensait pas à un adénome il me donna un petit traitement mais 6 mois plus tard le taux était monté à 6,86 : c’est donc la 3è possibilité c’est à dire peut-être un cancer. Une biopsie de la prostate est effectuée mais pourtant à ce moment aucune cellule anormale n’est trouvée. Je demande alors à mon nouveau médecin généraliste traitant de m’envoyer à l’Institut mutualiste de Montsouris (IMM) là où mes 3 autres frères ont été soignés. Un nouveau taux de PSA arrive à 9,16 ! et IRM prostatique et une nouvelle biopsie cette fois y sont pratiqués et voilà que cette biopsie accuse maintenant des cellules anormales : cancer. Opéré par le (Dr Barret) en février 2007 à l’IMM, à 63 ans. Une prostatectomie radicale sous coelioscopie. Alors que mes 3 frères et d’autres me disaient « qu’ils s’en étaient sortis » des séquelles au bout de 6 mois ; cela ne va malheureusement pas être mon cas ! Les relevés de PSA annuels de contrôle par contre sont impeccables depuis 6 ans (inférieurs à 0,01 ng/ml) donc l’éradication de cancer a réussi. Mais pendant 3 ans et demie une très sévère incontinence urinaire a persisté. Sauf que bizarrement et contrairement à d’autres : allongé, la nuit il n’y avait pas de fuite mais cela reprenait implacablement le jour : debout, assis ou en marche ou en effort. Malgré des séances ordonnées de rééducation périnéales et sphinctériennes avec biofeedback et électro-stimulation chez une kinésithérapeute locale, il n’y a pas eu de résultat tangible de diminution de cette humidité humiliante. Un an plus tard, l’IMM qui suivait régulièrement mon problème m’avait fait faire un examen urodynamique qui s’est avéré montrer que le sphincter résiduel était trop faible (0,20 au lieu des 0,30 nécessaires pour être « sec »). Cependant il m’a été alors indiqué de consulter à l’Hôpital TENON le service urologie de cet établissement qui m’a proposé pour mon cas, la pose d’un sphincter urinaire artificiel. Ce à quoi j’ai catégoriquement refusé de me résoudre vu son caractère définitif alors que j’espérais toujours une guérison plus naturelle. Par la suite alors, vu le peu d’évolution, l’IMM m’a cette fois proposé de consulter une spécialiste de rééducation et réadaptation fonctionnelle (Dr Muratet) à Paris. En effet les conseils de cette spécialiste ont été efficaces au point de faire baisser le nombre de protections Tena nécessaires que j’étais obligé de me munir quotidiennement. Arrivé donc à un niveau plus modéré, il m’a été suggéré et j’ai accepté une « pose de bandelettes sous uréthrales », une nouvelle méthode pour les hommes alors qu’on le pratiquait depuis longtemps pour les femmes souffrant de fuites urinaires quelques mois après leur accouchement. L’opération à l’Hôpital TENON a été effectuée en septembre 2010 (Pr Haab) j’arrivais à 67 ans. Ce fut parfaitement réussi. Dès la sortie quelques jours plus tard de l’Hôpital Tenon je n’ai plus souillé de protection et j’ai même pu alors rapidement abandonner cette sûreté car j’avais retrouvé complètement la fonction normale. Je n’avais plus besoin de courir à tous les WC publics de Paris pour me changer ou me libérer car de nouveau je pouvais tenir, sans humidité, le temps normal de tout un chacun : Quelle délivrance après ces 3 ans et demie de galère ! Je remercie le soutien constant de mon épouse, d’amis et frères qui ont eu aussi ce problème à la prostate et naturellement je suis reconnaissant des soins et de la patience des divers intervenants médicaux. Puisse ce témoignage aider d’autres, si nécessaire, à faire le pas de la pose des bandelettes et de connaître ainsi une vraie sensation de rétablissement de santé.
28/01/13 - Curietherapie HDD + 23 séances de RTE à
20 Mar 2013
Je vous propose de témoigner à partir du carnet de bord que j'ai tenu jour par jour pour traiter mon cancer de la prostate. mon age = 62 ans. Dépistage de routine chez mon généraliste le 21/06/2012 PSA de 24,7. Je precise que jamais on ne m'avait prescrit le test du PSA diagnostic entre le 04/07/12 et le 04/09/12 par imagerie IRM et Biopsie prostatique - Choix du traitement apres plusieurs consultations dans les grands établissements parisiens. Traitement par Curietherapie HDD + 23 séances de RTE à l'IGR de Villejuif. Sous le direction du Dr. Alberto Bossi. Curiethérapie en une seule fois le 8 Novembre 2012 suivi de 23 séances de Radiothérapie externe sur le poste Sirius (RTE conformationnelle et guidée par l'image). fin du traitement prévu le Jeudi 10 Janvier 2013. très cordialement
21/12/2012 - Suites de prostatectomie radicale
20 Mar 2013
Janvier 2012 : ma prostatectomie radicale se passe bien. Une semaine après, 300cc d'urine ne sont jamais évacués : la couture vessie-urètre s'est resserrée ! Intervention pour dilater l'ouverture. Une semaine après, échographie de contrôle: une poche plate de 300cc de lymphe (lymphocèle) apparaît en avant du pubis. Ponction avec une grosse aiguille ; avec hospitalisations successives, drains, redons, perfs et antibiotiques ! Puis incontinence importante pendant quelques jours qui se réduit vite pour en arriver à des "coquilles" absorbantes (slip) de moins en moins épaisses. La nuit pas de problème sauf deux pipis au lit (rêve de W.C.) d'où protection sous le drap placée au "bon" endroit avec une alèse 60x60cm sur laquelle j'ai agrafé la même surface de molleton (plastique=froid). Autre précaution : levers 2 fois la nuit , intervalle environ 4h. Un petit minuteur électronique de cuisine réglé sur 4h évitera définitivement les "accidents". Question impuissance : totale pendant quelques semaines, puis des "massages" répétés deviennent de plus en plus "agréables" et le volume réapparait. Un anneau à la base du pénis maintient une rigidité suffisante pour une bonne pénétration. L'orgasme sec est curieux, semblable aux premiers orgasmes des adolescents mais c'est toujours ça ! Quant à la suite : le temps le dira !
Choix de l'Ablatherm
31 Août 2012
HISTOIRE D’UNE PROSTATE (née en 1929) 1999 Décembre A 70 ans, résection par le chirurgien urologue de l’hôpital local, sans complication. 2010 Dépistage d’un cancer par le généraliste, renvoi à l’urologue : touché rectal, confirmation, ordonnances d’examens. 25/10 Echographie transrectale : 40gr Biopsie : 12 dont 4 positives – évidence d’un adénocarcinome prostatique. Gleason : 6 (3+3) 22/11 Scanner : pas de lésion suspecte 23/11 Scintigraphie : pas d’anomalie spécifiques. 26/11 IRM : Probable lésion, pas d’extension extra-capsulaire. > L’urologue propose : en traitement curatif un traitement hormonal, en curatif une radiothérapie, ou bien une surveillance – La chirurgie radicale est écartée, de toute façon je serais allé vers la robotisée qu’il ne pratique pas. Aucune indication de traitements autres, tels que la chirurgie robotisée bien sûr ou procédés focaux. Concernant les Ultrasons, sa réponse est : « si les micro-ondes guérissaient le cancer, çà se saurait » > Consultation du radiothérapeute de l’hôpital, il ne pratique pas les nouvelles techniques de radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle alors trop de risques de dégâts collatéraux, j’en reste-là. > Après avoir fait le tour de tous les traitements possibles, malgré l’opinion de l’urologue local, je décide de consulter un spécialiste dans un institut pratiquant le traitement par ultrasons (Système «ABLATHERM») 30/11 > Consultation : à ma grande surprise, le spécialiste n’est absolument pas convaincu de l’efficacité de l’Ablatherm ! – et me conseille un traitement hormonal intermittent (THI) – Je me range à son avis, ce traitement n’est ni invasif ni exclusif, il permettra d’attendre pour éventuellement une autre suite. Il est sans risque à cours terme, sinon de désagréables bouffées de chaleur. Par contre, sa poursuite dans le temps serait loin d’être anodine. 12/12 Début de l’Hormonothérapie. 2011 04/02 Comme prévu, les PSA sont descendus à 0,16 - Les avis concordants et négatifs des deux urologues m’étant laissé perplexe, je décidais d’avoir un 3ème point de vue et je pris rendez-vous dans le 2ème hôpital parisien possédant le matériel ABLATHERM. 2012 - La première recommandation que me fis le professeur consulté, c’est d’arrêter l’hormonothérapie, totalement inappropriée selon lui à mon cas, il fut décidé une surveillance active pour suivre une évolution qui avait été perturbée par le traitement. Les PSA ayant repris leur progression régulière le Professeur me mit devant le choix : continuer la surveillance ou, ce que je décidais, l’intervention. 19/06 PSA 5,52 26/06 Hospitalisation 27/06 Passage à l’Ablatherm. Il n’y aura aucune suite douloureuse. Désagréable: la sonde urinaire 3jours. 30/06 Sortie (perdu 3kg grâce à la gastronomie hospitalière…berk…) 21/08 PSA 5,32 (résultat pratiquement inchangé mais justifié) IRM ne présentant aucun signe inquiétant Aucun impact décelé sur l’environnement (sphincters, nerfs, vessie, rectum) - - Analyses urinaires négatives, pas d’infection. La fonction urinaire s’est plutôt améliorée, des besoins moins impérieux et plus espacés, situation normale pour l’âge. – Nouveaux PSA prévus fin septembre et fin décembre, ainsi qu’une IRM. - L’Ablatherm n’interdit pas d’autres traitements et interventions ultérieures éventuelles. Tout me laisse penser que j’ai pris la bonne option, l’avenir le dira, bien que l’on ne puisse qu’imaginer ce qui se serait passé si j’avais suivi une autre voie …Une chose certaine : sans Internet, les choses eussent été très différentes. Fait le 30/08/2012
Diminuer la douleur du Zoladex
25 Avr 2012
Mon cher Roland, Comme je te l'avais promis, je peux faire bénéficier les membres de l'ANAMACaP concernés, de mon expérience concernant l'injection de ZOLADEX (implant sous cutanée) qui est décrite comme assez douloureuse, y compris par mon médecin traitant qui a l'habitude d'en injecter. Cette injection de ZOLADEX peut être précédée par la pose d'un patch anesthésiant, EMLAPATCH, une heure avant l'injection à l'endroit de l'injection rendant celle-ci totalement indolore. Ce patch est disponible, sur prescription médicale, en pharmacie et remboursé par les caisses d'assurance maladie. Lors de la prescription de ce patch, il faut convenir avec le médecin de l'endroit exact de la future injection (habituellement dans la paroi abdominale à 10 cm à droite ou à gauche du nombril et légèrement vers le bas). Cette prescription devrait, hors contre-indication, être systématique en cas de traitement au ZOLADEX et est pourtant ignorée de presque tous les praticiens. Je reste à ta disposition pour tout renseignement complémentaire. Bien à toi. Guy