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Les témoignages sont le plus souvent postés par des personnes encore touchées par la maladie, ce qui peut donner une impression « négative ». Les personnes qui se sentent guéries souhaitent passer à autre chose et ne laissent pas forcément de témoignage alors que leur vision de la maladie aurait certainement une connotation plus positive.

Garder espoir

16 Mai 2016

Le père de mon mari est décédé d'un cancer de la prostate avec des métastases au cerveau. Les 2 dernières années de sa vie ont été très dures. Il avait un dosage de PSA tous les ans. (négatifs) et , à la mi_aout dernier: bingo (PAS a 37 ) Toute la panoplie d'examens que vous connaissez tous a confirmé de diagnostic. Bilan : gleason a 8, envahissement ganglionnaire gauche, métastasas osseuses déjà importants hanche et symphyses pubienne gauche, et vraisemblablement métastases pulmonaires. Tout çà en 1 an sans symptomes et sans fatigue. BILAN: maladie trop évoluée pour opérer. Mon mari ayant des gros problèmes cardio artériels: chimio impossible. Ce qui a été fait Casodex 1 mois puis ENANTHONE injection tous les 3 mois, 39 séances de radiothérapie qu'il a parfaitement bien supporté Il a choisi de ne pas ébruiter sa maladie. Les gens sont toujours plus malade que vous....(c'est ce su'il dit). Seul quelques personnes de grande confiance sont dans la confidence et nous entoure bien. Meme la famille ignore tout. On vit a fond comme si de rien n'était comme nous l'ont recommandé les médecins. Je suis infirmière et nous savons très bien tous les deux que çà ira vite. Nous avons confiance dans les médecins et dans la force qui nous lie. Bien sur , nous avons des moments de grosse déprime. Mais nos activités sociales et les liens très forts qui nous unissent à nos amis nous aideront. (la famille nous plaindrait mais ne nous aiderait pas moralement. ) Il faut vivre au mieux le temps qui nous reste et quand l'heure sera venue de la dépendance, je crois que nous serons prêts a l'accepter. Bien sur, on ne réagirait pas pareil a 60 ans. Je vous souhaite a toutes et tous beaucoup de courage pour supporter la maladie, les traitements et l'angoisse du lendemain.

Cancer de la Prostate

12 Mai 2016

J’ai été opéré en célioscopie d’un cancer de la prostate en octobre 2008, à l’âge de 57 ans. PSA : 4.3. Biopsie : 1 prélèvement /12 de cancéreux. IRM : Cancer localisé dans la prostate. Depuis l’opération le PSA est quasi indétectable en moyenne à 0.01 ng/ml et aucun traitement complémentaire n’a été nécessaire. Pas contre et cela a été le plus dur pour moi, j’ai subi une sévère incontinence qui a duré entre 2 et 3 ans. Aujourd’hui, soit 8 ans après l’opération, je n’ai pas retrouvé la continence totale comme avant l’opération, mais je l’évaluerai à 8/10. Pour le reste, j’ai appris à vivre avec. Sur le plan sexuel, les choses se sont heureusement beaucoup mieux passées. L’urologue m’a dit que compte tenu que le cancer était localisé dans la prostate, il a pu conserver les deux bandelettes érectiles. Effectivement, quelques semaines après l’opération, j’ai eu mes premières érections, puis l’évolution s’est stabilisée pendant plusieurs mois avant de retrouver un niveau quasi normal au bout de 18 mois environ. Juste un peu de difficulté à les maintenir, mais à 64 ans, même les hommes qui n’ont pas subi de prostatectomie ont généralement ce problème. Je n’ai jamais fait appel aux pilules magiques et autres palliatifs. Sur le sujet de la préservation des bandelettes érectiles, les urologues ne disent pas toujours la vérité au patient pour ne pas leur casser le moral. En général, s’il manque une ou les deux bandelettes, les érections en seront grandement perturbées ou définitivement impossibles, mais chaque cas est un cas particulier. Aujourd’hui, je suis un homme heureux dans la vie comme dans mon couple et qui a conscience que j’aurais pu faire un cancer beaucoup plus agressif. Il faut toujours se comparer aux autres pour être heureux. Ma vie est pratiquement redevenue comme avant l’opération et le ciel est toujours bleu pour moi. Que demander de plus.

Cancer de prostate

1 Mai 2016

Je découvre ce site par hasard et je tiens à apporter mon témoignage comme tous ceux que je viens de lire. Bien sûr, je ne me suis pas fait opérer dans une grande clinique; peut importe mais mon expérience vaut la peine d'être évoquée. A 59 ans je découvre à la suite d'un diagnostic un PSA de 4,84. Une année après, celui-ci monte à 6. Je consulte alors un urologue qui me suis pendant plus d'une année avec des antibiotiques. Le PSA se met alors à reculer jusqu'à atteindre 4,48. Le médecin avait aussitôt décidé d'arrêter le traitement, considérant la chose sans gravité. Mais par mesure de précaution, il met remet encore une ordonnance; puis une autre, avant de me demander de faire un test sanguin. Quand je vai chercher le résultat au laboratoire, je découvre un PSA dépassant le 7. J'étais alors bouleversé. Je change d'urologue, puis un autre car j'avais peur d'effectuer une biopsie que je finis tout de même par accepter. Résultat: tumeur localisée au lobe droit avec un coefficient de Gleason de 3+3. Après scaner, syntigraphie osseuse et d'autres examens, l'Urologue me propose une prostatectomie totale et décide alors de m'opérer le 19 janvier 2012. Aujourd'hui à 66 ans, Dieu merci, plus d'incontinence; psa indétectable ; santé merveilleuse. Pour le reste, les IPDE5 ne sont pas éfficaces malgré la sauvegarde des bandelettes. Les intracaverneuses ne sont pas en vente. Mais malgré tout je suis heureux, rien qu'à avoir été soulagé de cette maladie dont beacoup ont peur même de prononcer le nom. J'ai été opéré en Algérie; dans un petit hôpital de campagne; à ain el hammam( ex Michelet) en kabylie.

Orgasme sec

19 Avr 2016

Aucun livre ne dit ce que c'est : l'éjaculation finale disparue, le summum de l'orgasme disparait aussi, se stabilisant aux splendides émois du jeune ado jouissant pour la première fois. Comparé au vécu d'un récent "prostatectomisé" cela paraitrait dérisoire mais, quand on est passé tout près d'une "paix du slip" qu'on croyait définitive, quel bonheur de retrouver ce plaisir qui se fortifiera lentement en le renouvelant souvent. "Use it or lose it" comme disent les anglais !

Cancer prostate

9 Avr 2016

j'ai subi une prostatectomie pour cancer le 26 mars 2015.un an apres les fuites urinaire ce sont arretees pendant 4/5 jours,je crois avoir gagne et subitement elles reviennent pendant 1 ou 2 jours.les erections molles meme avec 2 piqures edex 20 par semaine.si quelq'un est dans mon cas je suis pres a tout entendre.le docteur a dit qu'il avait preserve les 2 bandelettes.merci de votre reponse.j'ai 72 ans.

Traitement ABLATHERM

5 Avr 2016

J'ai bénéficié d'un traitement ABLATHERM le premier avril 2008 (pas : 4,75 - biopsie : 6/7) Depuis lors mon Psa est stabilisé à:0,05. Guérison?(L

Allergie à Vitaros et Edex

5 Avr 2016

Bonjour, est-ce que que quelqu'un est comme moi ou peut me dire s'il existe des molécules de support de produit différentes que je pourrai essayer, car je suis obligé d'arrêter l'utilisation du Vitaros et Edex (20 injections à ce jour, opéré en juillet 2015, ablation totale de la prostate avec curage des ganglions, la moitié des nerfs érecteurs conservés, 53 ans). Je déclare la même allergie pour les deux produits: grosse douleur "inflammatoire" à la face antérieure du genou droit, qui s'étend au mollet, avec inflammation des veines et vaisseaux qui virent au rouge intense, un peu comme les signes d'une phlébite. A l'écho-doppler, rien. Donc, je garde le vaccum en utilisation quotidienne pour vasculariser et garder l'élasticité, mais on sait bien que la "Rolls Royce" de la rééducation de la fonction érectile est l'Edex. Merci.

Douleurs articulaires

4 Avr 2016

Bonjour, Je vous remercie de tous vos témoignages. En fin 2014, mon mari a découvert son cancer de la prostate, il avait 73 ans : PSA 6,43 (score de Gleason 4 + 3). Le traitement a été de 28 séances de radiothérapie et l'hormonothérapie par Eligard 45 tous les 6 mois. Il vient d'avoir sa 3e injection en février. Il a maintenant des douleurs articulaires (particulièrement au genou, qui ne lui,permettent plus de marcher plus de 100 m sans douleur. Je voulais juste savoir si quelqu'un avait rencontré ce genre de douleur avec Eligard 45 et les solutions trouvées pour améliorer la situation. Je vous remercie à l'avance pour vos réponses.

Conseils pour femmes de prostatectomisés

28 Mar 2016

mon mari de 54ans a subi en novembre 2015 une prostatectomie avec conservation des bandelettes . Mais depuis il a complétement changé de personnalité . Il ne veut pas entendre parler de sexualité , et s'etourdit avec différentes activités plutot en solo.Il dit qu'il est infirme et évite la plupart des contacts même les plus basiques .Et il a le dégout de son corps.... Pouvez vous me dire vers quelle période réapparaissent les premières sensations et peut être les premiers prémices d'érection ?merci à vous et courage à tous et à vos femmes ,

PSA SUITE PROSTATECTOMIE

2 Mar 2016

BONJOUR Je reviens vers vous pour donner des nouvelles de mon mari 73 ans, opéré en décembre d’une prostatectomie après 3 ans de surveillance, je rappelle rapidement son cas : Oct 2012 découverte d’un PSA à 47, sans autres symptômes, donc examens Résultats : adénocarcinome gleason 5 (3+2) pas trop méchant apparemment, mais en discordance avec un PSA à 47, scintigraphie osseuse négative, pas de dépassement ni d’extension En avril 2013, l’urologue de l’époque voulait absolument l’opérer et faire un curage ganglionnaire, Ne voulant pas en rester là, et mon mari ne voulant pas se faire opérer par ce chirurgien de toute façon, nous avons souhaité un 2e avis, et ayant découvert l’Anamacap, nous avons eu l’avis d’un professeur ainsi qu’un RV, au vu de ces éléments plus un tep à la choline, l’opération ne semblait pas nécessaire, nous étions rassurés et mon mari a opté pour la surveillance active, le PSA n’a cessé d’augmenter pour arriver à 188, en mai 2015 à nouveau tous les examens, biopsie ciblée révélant cette fois un gleason 7 (3+4) – 9 prélèvements sur 12 positifs, avec contingent colloide, toujours pas d’extension apparente, mais compte tenu de cette progression et après un 3e avis il s’est fait opéré dans notre région, par coelioscopie, durée 6h, découverte polype vessie à faible potentiel de malignité extrait en même temps, quelques petits problèmes post opératoires, sonde gardée un mois, phlébite, douleur dans un bras de l’épaule à la main suite compression d’un nerf lors de l’intervention, incontinence urinaire importante au début, rééducation en cours,, tout ceci en voie de guérison sauf sexualité bien sûr, sujet pas encore abordé pour l’instant nous procédons par étapes mais il va assez bien dans l’ensemble. Les résultats postopératoires ont révélé un grade PT3aR1N0 et le PSA un mois après intervention était de 0,35 et nous espérions qu’il allait rebaisser puisqu’il partait de très haut 188, mais un mois après 0,47 ! il revoit le professeur prochainement, il lui avait parlé de radiothérapie ou d’hormonothérapie selon le cas sachant qu’il y a un contingent colloide . On dit toujours que c’est un cancer qui évolue très lentement, dans son cas cela a beaucoup évolué en 3 ans, donc il faut toujours être vigilant mais c’est un cas particulier semble t’il ? je me culpabilise un peu et me pose plein de questions (plus que lui) - aurait t’il dû se faire opérer plus tôt pour éviter que cela progresse, bien que cette surveillance lui ait permis de vivre encore 3 ans normalement ! - pourquoi le premier urologue voulait t’il absolument l’opérer, doutait t’il de sa biopsie par rapport au psa à 47 ? - Le cancer colloide donne plus de PSA semble t'il, cette forme est assez rare, peut être plus difficile à détecter, et se propage peut être plus facilement ? je n’ai pas trouvé beaucoup de renseignements ni de cas semblables, sur ce cancer. - pourquoi certains urologues s’inquiètent t’ils à partir d’un PSA peu élevé et d’autres non ? ........... Dans l’ensemble le moral a toujours été là, même si un peu en baisse parfois, comme à ce jour où nous sommes toujours dans l’incertitude du traitement et de l’avenir , si quelqu’un pouvait m’éclairer un peu sur mes interrogations, sur cette forme de cancer colloide et sur ce PSA postopératoire trop élevé, je les en remercie.

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